Parcours 2019 [1]

À quoi peut ressembler une année cycliste pour Bosses21 ? Mes envies me guident souvent dans les bosses de Côte-d’Or mais aussi parfois en plaine… des parcours souvent différents d’un week-end à l’autre… des parcours inédits à la recherche d’une bosse que je ne connaîtrais pas… la réponse en 12 mois ci-dessous. Et peut-être que cela vous donnera des idées de parcours !

Les parcours sont enregistrés avec Strava. Les kilomètres, temps et dénivelés réels sont relevés à l’aide de mon compteur vélo (celui du site strava n’est pas du tout fiable !).

Accès direct : Janvier / Février / Mars / Avril / Mai / Juin

Janvier

Samedi 5 janvier – départ 9h30 – VTT / 30,2 km / D+ 559 m / 2h25
Observatoire des Hautes Plates… Je pense à mes objectifs 2019…

C’est parti pour une nouvelle saison avec cette première sortie à VTT. C’est une petite tradition qui s’est installée depuis 3 ans. Début janvier, ça caille, il y a un vent du Nord-Est en mode sibérien… et les repas de fêtes de fin d’année mettent à mal le cycliste qui se sent alors bien bedonnant. Rien de telle qu’une balade à VTT pour faire fondre tout ça ! Et pas une petite, une bonne avec des chemins pas faciles et bien pentus que l’on peut trouver sur les pentes du Mont Afrique.

Marsannay-la-Côte > Mont Afrique

  • Distance : 10,665 km
  • Départ : Marsannay-la-Côte — 276 m
  • Arrivée : Mont Afrique — 595 m
  • D+ : 353 m
  • % moyen : 4%
  • % maxi : 7,5% sur 310 m
  • Catégorie : 1

Une variante découverte seulement en 2015… VTT obligatoire et tranquillité assurée. On démarre à la sortie de Marsannay-la-Côte, alt. 276 m par une montée qui débute juste au pied du pied du premier lacet de la D108. C’est une piste forestière assez large au revêtement inégal fait de terre et de cailloux mais relativement bien tassé. Il faut gérer une première partie assez soutenue 1,650 km à 6/6,5% répartie sur une épingle. L’an passé, ce n’était que neige verglacée, aujourd’hui c’est beaucoup plus facile.

Puis la pente va s’assagir un peu avec 800 m à 5,5% pour carrément passer au faux-plat montant durant 2,6 km toujours en forêt. Enfin une trouée apparaît – vous vous trouvez tout au-dessus de la Combe Grands Vaux, alt. 472 m – annonçant un dernier effort à fournir avec 670 m à 2,5% (la fin de la piste présente pas mal de gros cailloux) pour rejoindre la route de Flavignerot.

Un peu d’asphalte qui fait du bien pour rejoindre Corcelles-lès-Monts puis c’est la montée finale. Une épaisse brume s’est installée sur le sommet du Mont Afrique, pour les panoramas, ce sera pour une autre fois. Je ne suis pas la route qui va jusqu’à la Tour de télécommunication. Je vais suivre une piste qui fait le tour du Mont Afrique. J’adore, ce n’est pas trop difficile, même assez roulant et on peut se distraire en passant en revue les Batteries du Camp Romain, de Flavignerot et de la Pointe Nord que l’on ne peut pas rater avec ses tags colorés mais dégueulasses !

C’est dans une bonne forme que je termine cette première ascension. Je suis seul au pied de la Tour de télécommunication que je distingue à peine, c’est dire l’épaisseur de la brume !

Corcelles-lès-Monts > Combe à la Serpent > Observatoire des Hautes Plates

Je vais varier et rajouter un peu (beaucoup en fait) de difficulté en rejoignant directement les hauteurs de Corcelles-lès-Monts par une piste que je n’avais encore jamais empruntée. Quelle pente pour descendre vers le bas de Corcelles-lès-Monts ! Je ne l’ai grimpée que 2 fois, la déclivité atteint sans peine les 15% !

Je file ensuite vers la Combe de Morgemain qui est le prolongement naturel de la Combe à la Serpent. Pour cette dernière, j’ai toujours qu’elle avait un drôle de nom ! Enfant, j’ai toujours pensé qu’elle était infestée de serpents ! L’article féminin placée juste devant raconte aussi une histoire qui rejoint mon imagination : au Xe siècle, le site était entièrement couvert de forêt. Il avait la réputation d’être hanté par une vouivre, femme-serpent, vivant dans les rochers et se baignant dans la Fontaine-d’Ouche.

Je termine une bonne descente en prenant une voie qui remonte vers le Parking des Hautes Plates. Là, c’est hyper hard, je me bats plusieurs fois sur des pentes qui font lever la roue avant (je vous laisse deviner le pourcentage) et le cardio monte dans les tours ! Mais c’est bon ça, c’est ce qu’il faut pour décrasser un bon coup le bonhomme. C’est satisfait que je me pointe à l’Observatoire des Hautes Plates où je peux réfléchir un peu à mes objectifs 2019 que je vous dévoilerais au fur et à mesure de cette saison.

Observatoire des Hautes Plates > Plateau de Chenôve > Marsannay-la-Côte

Sans le faire exprès, je me laisse glisser vers Dijon car j’avais envie de faire un peu de descente après ce gros effort. Mal m’en a pris car il fallait que je rejoigne le Plateau de Chenôve via le Château de Gouville. Changement de plan et il ne sera pas trop mauvais, je passe par la Bergerie et trouve un joli sentier qui me mène au Plateau de Chenôve. Là aussi jamais fait, c’est sympa de découvrir d’autres alternatives.

C’est la quille, je n’ai plus qu’à suivre la longue transversale qui traverse le Plateau de Chenôve. Au bout de cette piste toujours assez boueuse, j’essaie de ne pas me tromper de voie pour descendre à Marsannay-la-Côte. D’autres fois, je me suis retrouvé à Chenôve ou bien trop à droite sur des sentiers au milieu de nulle part ! Cette fois-ci c’est la bonne.

Retour au parking de la salle du Rocher où on peut se garer assez facilement. Je suis très satisfait de cette sortie, les sensations étaient assez bonnes, le décrassage s’est passé sans encombres et j’ai pris beaucoup de plaisirs dans des chemins très variés avec 30 km et un D+ de 560 m assez compact, le tout accompagné de passages assez exigeants.


Samedi 12 janvier – départ 13h35 – 70 km / D+ 763 m / 3h10
Panorama depuis Sombernon… les habitants du quartier ont une belle vue !

Ce samedi, temps misérable comme malheureusement trop souvent ces derniers week-end d’hiver. Je serais bien resté au chaud mais je dois emmener le fiston à une compétition de tennis de table à Fontaine d’Ouche et il en a pour toute l’après-midi, donc je suis « obligé » d’aller faire un tour en vélo. La météo est donc en mode bretonne, je me couvre bien des pieds à la tête, je branche le mode warrior et c’est parti pour 70 bornes.

Ce sera d’abord une remontée de la Vallée de l’Ouche jusqu’à Pont de Pany le long du Canal de Bourgogne. Je dois me taper un bon petit vent de face mais j’essaie d’y mettre du rythme. Après ma première sortie VTT samedi dernier, il faut continuer le mode décrassage. Tout en me prenant quelques averses bien glaciales, je bifurque ensuite sur la D 108 pour rallier Remilly-en-Montagne. Je décide de ne garder que la plaque pour toute la sortie afin de faire travailler les jambes, ce sera assez dur sur des passages qui piquent bien mais la caisse n’est pas trop mauvaise en ce début d’année.

De Remilly-en-Montagne, je me dirige vers l’A38 au niveau de l’échangeur n°29. Tiens, c’est marrant, voilà une montée que je n’ai jamais faite, étonnant, moi qui ai sillonné pas mal les routes de Côte-d’Or ! Il ne me reste plus qu’à me hisser par la régulière et roulante D 905 jusqu’à Sombernon, qui sera le point le plus éloigné et le plus haut (560 m) de mon parcours.

Il pleut un peu plus fort, pffff c’est un peu la misère, je descends par la D9. Au bas de cette forte descente, je me fais une belle frayeur. Malgré ma prudence car j’ai pris garde à ne pas prendre trop de vitesse, je me fais surprendre (j’ai du passer une fois dans ce sens et c’était l’été) par un brusque virage sur la droite avec un arrêt stop qui croise avec la D 905 coisée un peu plus tôt. Je freine un peu plus fort mais les roues de mon vélo ne prennent pas prise avec la route au revêtement (trop) lisse et gorgée d’eau ! Bordeeeel, je commence à chasser de la roue arrière, la roue avant pareille… je suis en train de foncer sur un terre-plein assez haut. Ç’est pas bon ça, si je chute, la gamelle va être sévère ! En une seconde, il faut tout analyser… je vois le terre-plein et une voiture avancer sur la D 905… je relâche les freins, réussis à amorcer le virage en mode funambule et pas le choix, je grille le stop en passant devant la voiture qui était à environ 50 m. Pfiou, c’est pas passé loin, mon cœur bat la chamade et je me traite de tous les noms d’oiseaux mais je reprends rapidement le fil de mon parcours.

Ensuite, c’est encore une route inédite de Mesmont à Savigny-sous-Mâlain. Très plaisante, il faudra que j’y revienne par beau temps. Je descends ensuite vers Mâlain avec une belle vue gâchée par la grisaille sur son impressionnant château et où je n’oublie pas d’être encore plus prudent bien sûr…

Depuis Mâlain, je vais suivre la D 104c jusqu’à Lantenay puis la D 104 jusqu’au croisement avec la route qui va de Plombières-lès-Dijon à Pasques. Jamais facile cette portion, elle est très irrégulière, faite de montées – dont un passage très ardu après le Viaduc de Lée – et descentes. Mais j’ai le vent dans le dos cette fois-ci, ce qui va me rendre la tâche plus facile.

C’est la quille, je n’ai plus qu’à me laisser glisser jusqu’à Plombières-lès-Dijon, emprunter mon passage secret jusqu’au Lac Kir puis franchir le Canal de Bourgogne pour revenir à Fontaine d’Ouche. Le fiston a bientôt terminé sa compétition, j’en profite pour rajouter un peu de kilomètre et de dénivelé en faisant un aller-retour dans la Combe à la Serpent. Voilà une bonne sortie malgré la mauvais temps et les pieds un peu congelés, 70 km avec 763 m de D+, un kilométrage et un dénivelé qui étaient bons à prendre pour un mois de janvier.


Samedi 19 janvier – départ 13h25 – 81,6 km / D+ 429 m / 3h22
Seurre sous la grisaille, je vais traverser la Saône.

Dans la semaine, je me dis que je ferais bien un petit « 100 », jeudi Météo France annonce des éclaircies samedi matin, ça va le faire puis non. Vendredi, c’est brouillard givrant prévu en début de matinée, je vais devoir raccourcir ma sortie puis au lever à 8h samedi matin, c’est blanc de givre et verglas au sol. Changement de plan, ce sera départ en début d’après-midi.

Une fois de plus, le soleil fait la gueule ! C’est rageant, on a de belles éclaircies en semaine mais elles sont réservées uniquement à ceux qui bossent pas 🙂 ! Bon, faudra faire avec, d’autant plus que la température affiche un joli -1°C ! Il me faut presque 20 minutes pour enfiler 5 couches pour le dessus, le cuissard long + un cuissard court par-dessus, 2 paires de chaussettes, les chaussures et sur-chaussures que j’ai pris soin de faire chauffer toute la matinée sur le radiateur, une cagoule + un bonnet… il faut bien ça pour tenir une sortie de 3 heures 30.

Pour cette sortie, ce sera le Val de Saône. Une sortie en plaine facile sur le papier mais aussi usante que dans les bosses. En effet, il faut tout le temps pédaler et ce à un bon rythme afin de dégripper le diesel que j’ai souvent tendance à être. Il y a aussi quelques faux-plats ou des petits coups de cul qui font mal aux jambes. Le vent peut être de la partie mais aujourd’hui calme plat tant mieux. Sinon, aucun regret d’avoir différé mon départ, les routes ont eu le temps de sécher parfaitement.

Qui dit Saône, dit Voie verte que j’essaie toujours de suivre un bout lorsque je roule de ce côté de la Côte-d’Or. Aujourd’hui, ce sera l’Eurovélo 6 entre St-Jean-de-Losne et Pagny-la-Ville. C’était super. La Saône coulait tranquillement en attendant ses prochaines crues d’hiver ou de printemps. J’ai juste été interrompu par un groupe d’oies sauvages qui me barraient l’accès et qui m’ont cancané assez coléreusement car je les avais déranger. Lorsque j’ai forcé le passage, elles se sont à peine bouger et il y en a même une qui m’aurait bien donné un coup de bec. Je me suis déjà fais mordre par un chien, manquerait plus que je me fasse becqueter par un piaf !

Malgré le froid et mes pieds qui commençaient à congeler, je pousse le compteur jusqu’à 80 km. Ce sera du foncier bon à prendre pour ce début d’année et peut-être aussi sur le mois de février qui est souvent assez mauvais.


Samedi 26 janvier – départ 9h05 – 24,07 km / D+ 230 m / 1h37
Balade dans la Forêt Domaniale de Grange Neuve.

Ce jour, c’était pile poil celui de mon anniversaire. Pas de grosse sortie à m’offrir, la météo est dégueulasse, ça caille, il y a du brouillard et j’ai une toute petite matinée de disponible, ce sera donc VTT près de la maison.

Je ne me prends pas la tête, j’emprunte des chemins que je connais bien sauf que je vais rencontrer 2 problèmes. Le premier est que la neige tombée (oh pas grand chose) dans la semaine, combinée au petit redoux (entre 3 et 5°C degré quand même), a transformée quelques passages en un truc bien boueux. J’ai bien fait chauffer le cardio pour ne pas poser un seul pied dedans ! Le second problème a été ma rencontre avec les chasseurs… quelle plaie ! À croire qu’ils étaient tous de sortie ce matin, tous les bois étaient occupés. Pas facile, il faut négocier un passage, modifier sans arrêt le parcours que j’avais en tête. Une fois, ce n’est pas passé du tout. Surtout que j’avais la nette impression que les chasseurs n’aiment pas du tout les vététistes ou les randonneurs. Il y en a un qui me répondait que par des signes, débile celui-là. Un autre me dit, vous n’avez pas vu le panneau ? Je lui réponds, oui, il y a marqué « prudence ». Son ton me disait plutôt que c’était marqué « passage interdit ». Enfin, ma tenue jaune fluo et le vélo rouge fluo l’ont un peu rassuré, sa troupe ne risquait peut-être pas de me confondre avec un sanglier ou un autre gibier. Quoi que, ce n’est pas la dizaine de litrons alignés sur le mur d’une cabane de chasse que j’ai vues un peu plus tôt qui seraient là pour me rassurer !!!

J’arrive à rentrer vivant à la maison, assez content de ma sortie car la forme est là en ce début d’année. Et puis une sortie VTT dans ces conditions hivernales, ça compte double ! Par contre, le truc chiant, c’est qu’il faut passer un peu de temps à nettoyer la monture mais elle en avait bien besoin 🙂 !

Février

Samedi 2 février – départ 13h45 – 64,8 km / D+ 905 m / 3h13
Ambiance glaciale à la Maison Forestière de Vergy Débats (Près de Détain) à 619 m d’altitude.

Je commence par un petit coup de gueule sur… STRAVA ! Mon application est en carafe sur mon smartphone ! Depuis mi-janvier (je ne l’ai su qu’après), Strava a rendu impossible la connexion à l’appli sur les versions plus ancienne comme la mienne !

Je m’explique : j’ai en effet un smartphone qui n’est plus tout jeune mais qui marche très bien pour le peu que je m’en sers. Il fonctionne avec Android 4.0.4 mais autant vous dire que le système date déjà de la préhistoire (dernière révision en 2012) puisque nous en sommes maintenant à la version 9 ! Bref depuis déjà 2 ou 3 ans déjà, il m’était impossible de mettre à jour Strava puisque mon système devenait obsolète (et impossibilité de mettre aussi à jour Android sur mon smartphone). Mais l’appli fonctionnait très bien jusqu’à la semaine dernière !!!

Strava via son système déconnexion l’a rendu inutilisable. J’ai lu sur le site de Strava qu’il fallait télécharger la dernière version… allez hop, comme ça ! Mouais c’est ça, tiens j’ai 100 euros à sortir de ma poche pour me racheter un nouveau smartphone (et encore dans les moins cher parce que ces petits bidules extrêmement fragiles peuvent coûter une blinde…). Et encore, heureusement que je n’ai pas souscrit à l’abonnement premium… je me serais retrouvé à payer pour des clopinettes ! Bref, j’ai failli dire adieu à Strava mais bon j’aime bien son fonctionnement – battre son PR ou bien si on est vraiment une brêle – et le petit réseau « social » qui l’accompagne, ça permet de voir un peu ce que font les amis.

Donc, pour contourner le problème, j’ai réussi à télécharger (pour rappel, mon smartphone est vraiment vieux !) une petite appli « GPX logger » qui permet d’enregistrer ma trace GPX. Deux petits trucs pénibles en attendant : l’appli n’a pas de pause automatique lorsque que l’on s’arrête et il faut la décharger manuellement pour l’enregistrer sur Strava. Que du « bonheur » en attendant un éventuel nouveau téléphone d’ici quelques mois. Pour conclure : merci Strava !!!

Pour la sortie, je pars assez motivé, je me dis que je me ferais bien au moins un « 80 » puis je déchante assez vite… il fait froid, le soleil fait encore la gueule comme tous les week-ends de cet hiver et bordel, il y a un de ces vents ! Un vent Nord-Ouest, je l’aime pas celui-là, il est assez fort, caillant, ne vous lâche jamais la grappe et je vais me le bouffer sur les deux tiers de mon parcours. Ça sent la sortie ambiance glaciale…

Impossible de mettre vraiment du rythme, je grimpe les pentes vers Bruant sur un gros développement pour muscler les jambes en prévisions des grosses montées prévues l’été prochain mais j’avance pas… Arrivé à Détain, c’est quand même sympa avec la neige qui décore le paysage depuis les 400 mètres d’altitude et les routes sont bien dégagées et non verglacées.

D’un seul coup, en me dirigeant vers la Maison Forestière de Vergy Débats, point culminant de ma sortie (619 m), le temps se met en mode « hiver à rester dans les chaumières ». Je me retrouve dans le brouillard, le vent se met à souffler encore plus méchamment (faisant même tomber mon vélo lors d’une petite pause photo) et un froid polaire me fait frissonner. Je ne pense alors qu’à une seule chose, rentrer au chaud à la maison.

Je récupère enfin le vent dans le dos au Col de la Gourdasse et rentre sans trop traîner. Une sortie glaciale… mais qui restera utile pour la suite de ce début de saison où j’ai besoin de faire un peu de kilomètre et de dénivelé.

Ah oui, mon tracé GPX n’a pas été enregistré correctement, le GPS a lâché à ma pause de mi-parcours, quand je vous dis sortie glaciale, il a gelé aussi.


Samedi 9 février – départ 13h35 – 72,1 km / D+ 870 m / 3h23


Dimanche février – départ 13h20 – 86,1 km / D+ 1143 m / 4h19

Mars

Dimanche 3 mars – départ 8h10 – 85,1 km / D+ 1095 m / 4h08


Samedi 9 mars – départ 15h10 – 56,5 km / D+ 661 m / 2h33


Samedi 16 mars – départ 7h10 – 204,6 km / D+ 1989 m / 8h50

BRM 200K – Chevigny-St-Sauveur


Samedi 23 mars – départ 13h55 – 88,1 km / D+ 1071 m / 3h48


Samedi 30 mars – départ 13h25 – 91,5 km / D+ 712 m / 3h54


Avril

Samedi 6 avril – départ 14h15 – 86,8 km / D+ 1283 m / 3h52


Samedi 13 avril – départ 13h – 53,6 km / D+ 1204 m / 3h10


Samedi 20 avril – départ 16h – 57,6 km / D+ 654 m / 2h39


Dimanche 21 avril – départ 9h35 – 53,8 km / D+ 310 m / 2h11


Lundi 29 avril – départ 8h20 – 55,8 km / D+ 597 m / 2h29


Mardi 30 avril – départ 9h – 47,2 km / D+ 220 m / 2h01


Mai

Mercredi 1er mai – Marche à pied – départ 5h50 – 34,6 km / D+ 817 m / 6h51

Voir le récit détaillé sur cette page.

Jeudi 9 mai – départ 18h10 – 13,2 km / D+ 227 m / 0h46


Vendredi 10 mai – départ 12h10 – 32,5 km / D+ 441 m / 1h27


Dimanche 12 mai – départ 9h30 – 56 km / D+ 673 m / 2h45


Mercredi 15 mai – départ 12h10 – 32,2 km / D+ 404 m / 1h21


Samedi 18 mai – départ 8h25 – 91 km / D+ 1076 m / 4h01


Mercredi 22 mai – départ 12h10 – 30 km / D+ 406 m / 1h18


Jeudi 30 mai – départ 9h30 – 81,8 km / D+ 1843 m / 5h01

Stage Alpes4ever à Cluses 1/5

Le Mont Blanc dans le Col de la Ramaz.

Voir le récit détaillé sur cette page.


Vendredi 31 mai – départ 9h15 – 57,8 km / D+ 1371 m / 3h33

Stage Alpes4ever à Cluses 2/5

Col de Pierre Carrée – 1844 m – plus haut col routier de Haute Savoie.

Voir le récit détaillé sur cette page.


Vendredi 31 mai – départ 15h15 – 48,8 km / D+ 1435 m / 3h38

Stage Alpes4ever à Cluses 3/5

10 ans plus tard, mon second passage !

Voir le récit détaillé sur cette page.

Juin

Samedi 1er juin – départ 8h20 – 85,3 km / D+ 2059 m / 5h55

Stage Alpes4ever à Cluses 4/5

Au bord du Lac de Joux Plane.

Voir le récit détaillé sur cette page.


Dimanche 2 juin – départ 8h20 – 45,1 km / D+ 1089 m / 3h04

Stage Alpes4ever à Cluses 5/5

Col de Solaison – 1502 m – une ascension où j’en aurai bien bavé !

Voir le récit détaillé sur cette page.


Dimanche 9 juin – départ 9h50 – 46,4 km / D+ 453 m / 2h10


Vendredi 14 juin – départ 9h30 – 55,9 km / D+ 586 m / 2h21


Mardi 18 juin – départ 12h10 – 32,7 km / D+ 430 m / 1h16


Dimanche 23 juin – départ 14h40 – 77,5 km / D+ 968 m / 3h40


Dimanche 30 juin – départ 6h55 – 83,4 km / D+ 1237 m / 4h04

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