Alpes – La Roche-sur-Foron / Cols des Aravis, des Confins et des Annes

Col des Annes – 1722 m

Vendredi 5 juin 2020

C’est reparti pour un nouveau stage « Alpes4ever » ! Il devient annuel pour la quatrième année et ce durant les mois de mai/juin. Après l’Isère en 2017, la Savoie en 2018,  la Haute-Savoie en 2019, ce sera à nouveau la Haute-Savoie pour cette année. Par contre, il y a une différence de taille avec les années précédentes : je ne serais pas en mode solitaire puisque mon beau-frère Sébastien sera de la partie !

C’est lors d’une fin de repas à la fin de l’année 2019, au moment du troisième verre de digestif – vous voyez l’image 😉 – que l’on décide de faire un truc cool comme l’Alsacienne, une cyclosportive qui aurait lieu dans les Vosges fin juin 2020 ! Et puis après réflexion, je l’invite à participer à mon week-end prévu dans les Alpes qui serait alors une excellente façon de faire une belle préparation pour notre cyclosportive… Sébastien est super enthousiaste, c’est vendu !

Les mois ont défilé bizarrement… nous avons monté tranquillement en température durant les mois de janvier, février, mars… puis le 17 mars, en pleine bourre (c’est généralement un bon mois pour ma part), catastrophe planétaire avec un confinement à cause de la pandémie du Covid-19 ! Plus de possibilité de faire du vélo durant 1 mois et 25 jours ! La cyclosportive l’Alsacienne passe à la trappe… mais au sortir du confinement le 11 mai, miracle, notre week-end est possible !  Du 12 au 31 mai, je m’astreint à une bonne séance de remise en forme avec 450 km et 6500 m de D+. Seb roule aussi comme il peut. De toute façon, on se met zéro pression, on aura toute la journée pour réaliser nos sorties.

Seb me rejoint le jeudi soir pour faire les derniers préparatifs, on ne s’est pas couché trop tard, lever le lendemain matin à 6h pour un départ à 6h30. L’approche en voiture est quasi identique à l’an dernier : départementale à travers la Bresse, autoroute A39 à partir du Miroir en direction de Bourg-en-Bresse puis autoroute A40 jusqu’à Bonneville en Haute-Savoie.

Un petit soucis a occupé notre voyage… il est prévu du mauvais temps pour le week-end ! Pour un mois de juin, ce n’est pas top du tout ! Durant le trajet, on surveille le ciel comme le lait sur le feu. Jusqu’à Genève, c’est couvert mais pas pluvieux mais en sortant à Bonneville, les conditions se dégradent et les gouttes tombent de nuages bien sombres… quelle déception ! Autant vous dire qu’on a commencé à se poser des questions en remontant la Vallée de la Borne jusqu’au Grand-Bornand, point de départ de notre première sortie…

On se gare à l’entrée du Grand-Bornand. Il pleut, tout est gris, c’est la misère mais on se motive un bon coup, on fera avec ! D’autant que le programme est alléchant : ascension du Col des Aravis suivi du Col des Confins puis du Col des Annes !

À 11h, on est prêt et on décolle. De toute façon, comme le parcours est fait d’allers-retours, si ça devient trop galère, on pourra revenir rapidement à la voiture. De plus, il pleut mais assez légèrement, on ne mouillera pas trop vite et on compte aussi sur le fait que l’on pourrait avoir quelques accalmies.

Col de St-Jean-de-Sixt

Sans transition, on démarre une première montée : celle du Col de St-Jean-de-Sixt en direction du village du même nom. Ce n’est pas trop difficile avec 1,4 km à 5% sur une pente régulière, idéal pour s’échauffer. On essuie la pancarte à 956 m d’altitude et on constate que tout va bien jusqu’ici.

Col de St-Jean-de-Sixt – 956 m
Une premier col facile pour bien s’échauffer.

Col des Aravis

À St-Jean-de-Sixt, on début l’ascension du Col des Aravis. 10,3 km à 5% de moyenne. C’est aussi une bonne occasion pour continuer notre échauffement car c’est une montée pas très difficile et qui propose une pente assez régulière. J’ai déjà grimpé le Col des Aravis en 2015 mais seulement à partir du croisement avec le Col de la Croix-Fry. On pourra dire que cette fois-ci, je ne l’aurais pas esquivé.

Le passage assez facile – 2,6 km – entre St-Jean-de-Sixt et la Clusaz met en place une petite ambiance car la Vallée du Nom se resserre à cet endroit pour ne laisser la place qu’à la route et la rivière à la manière d’une cluse,  qui a sûrement donné son nom à la station que nous atteignons rapidement.

La Clusaz – les toponymes en -az sont très fréquents dans la région, de langue arpitane, mais ne se prononcent pas. La bonne prononciation est donc La Cluse – avec ce temps bien tristounet, est très peu animée en ce jour et puis elle a déjà remisé ses habits d’hiver depuis un bon moment. Une jolie rampe nous accueille à l’entrée de la station et avec ses 7% sur 400 m, nous rappelle que les choses un peu plus sérieuses vont commencer.

Un petit replat nous permet de faire un petit état des bonhommes : tout est ok, c’est parti pour 5,6 km sur une déclivité comprise entre 6 et 7,5%. La route est large, la circulation est assez tranquille, la pluie est très faible, la pente est très régulière. Impeccable, c’est ce qu’il fallait pour bien débuter cette sortie.

Dans un premier temps, nous continuons à remonter la Vallée du Nom qui est assez large et qui présente un environnement très urbain. En effet, ce sont des centaines de chalets et appartements qui jouent les prolongations de la Station de la Clusaz répartis sur les Verriers, Gotty, les Converses.

Au niveau des Converses, j’arrive en terrain connu et je joue les guides en indiquant à Seb que la route qui part à droite est celle qui mène au Col de la Croix Fry. S’il avait fait beau, je l’aurais sans aucun doute ajouté au programme mais là, j’ai laissé tomber sans hésitation.

Peu après les Converses, les habitations se font un peu plus rares et la vue porte sur une belle série de 6 lacets qui grimpe à l’assaut d’un énorme talus coincé entre l’Adroit (sur la gauche) et l’Envers (à droite) des Aravis. Je sais que par beau temps, le décor aurait été de toute beauté avec les fameuses crêtes qui coiffent les sommets de chaque côté de l’ascension. Dans les lacets, la déclivité prend un peu du poil de la bête avec 6,5%, voir un peu plus avec 7,5% durant 750 m mais franchement à ce stade de la sortie, rien d’absolument méchant !

Les lacets sont avalés tranquillement et nous voilà en vue du col. Nous ajoutons inconsciemment quelques pignons et notre allure se fait plus vive, c’est normal, la pente est passée à 5%. À l’approche du col, elle descend même à 2%, autant vous dire qu’il n’y a pas plus facile pour franchir le Col des Aravis à 1486 m d’altitude.

On est content de cette première ascension réussie mais l’ambiance du col est malheureusement en mode fantôme. La pluie a refait son apparition, il fait bien plus frais à cette altitude. On se réfugie à l’intérieur de la Chapelle Ste-Anne (fondée en 1624), faisant donc naturellement fonction de protectrice des voyageurs. D’ailleurs à défaut de voyageurs, nous ressemblons plutôt à des extraterrestres. Nous sommes les seuls cyclos du jour, les touristes sont absents, seuls quelques propriétaires des boutiques de tourisme sont en train de préparer la saison estivale à venir. Ils ont d’ailleurs déjà mis en place leurs immondes peaux de vaches sur leurs étales.

Par rapport à ma première venue, mon sentiment est toujours le même : autant l’ascension est magnifique, autant le col est très moche avec ses affreuses boutiques de tourisme et je ne vous parle de l’immense parking à campings-cars situé juste à l’entrée côté la Clusaz (tiens, aujourd’hui, il n’y en a pas !). Des hordes de touristes s’y rendent durant tout l’été pour surtout profiter de LA VUE sur le ROI DES ALPES : le Mont Blanc ! J’indique à Seb la direction de la vue : « Heu, derrière cet abominable brouillard, il y a normalement le Mont Blanc et ses 4 808 m ! Et aujourd’hui, c’est raté de chez raté !!! »

On est déçu mais on se concentre désormais sur notre second gros objectif : le Col des Confins.

Mon second passage au Col des Aravis par le même versant depuis la Clusaz.
Seb indique deux… ce n’est pas son second passage mais son deuxième col de la journée en comptant celui de St-Jean-de-Sixt !
Chapelle Ste-Anne.
Les boutiques du col et les immondes peaux de vaches !
Voici la vue que l’on aurait du avoir !

Col des Confins

La pluie est revenue, oh pas des trombes d’eau heureusement mais assez pour qu’on entame une descente prudente en retournant à la Clusaz. Le problème avec la pluie dans les ascensions alpestres, ce n’est pas les montées où on pourrait encaisser n’importe quoi, c’est les descentes ! Après avoir bien chauffé en grimpant, on a vite froid avec le vent. On n’y voit moins bien avec les gouttes ou parfois la buée qui s’étalent sur les lunettes. Et surtout, l’efficacité amoindrie des freins qui rend les trajectoires plus périlleuses dans les lacets ! Peur de la glissade sur l’asphalte qui n’accroche plus… bref, voilà bien des aspects qui peuvent rendre une descente bien plus usante qu’une montée.

Pour cette descente et les autres qui suivront, Seb et moi avons l’avantage de connaître la route que l’on vient de grimper d’autant que celle du Col des Aravis ne présente aucun piège sur une chaussée assez large et en très bon état. De plus, vu la météo, on est habillé en mode hiver et cela nous a protégé du froid.

Nous revoici à la Clusaz. Nous prenons à droite la Route des Confins pour attaquer la troisième ascension du jour : le Col des Confins. Pas très longue avec 5,4 km, elle nous réserve tout de même un beau 7% de moyenne qui laisse penser que quelques difficultés nous attendent…

Col des Confins, court mais costaud !

La pluie s’est un peu calmée et s’est transformée en bruine. C’est assez roulant durant 2,1 km jusqu’au Fernuy malgré les passages à 6-7%. La pente se cabre soudainement dans un lacet qui part sur la gauche. C’est le plat de résistance de cette ascension avec 1000 m à… 10,5% de moyenne ! Ouch, ça chauffe ! Je suis un peu serré avec mes 4 couches, je n’arrive pas bien à respirer correctement, je fais une courte pause dans le 3ème lacet pour enlever le coupe-vent. Seb continue sur sa lancée, il va bien, je suis content pour lui et malgré son peu d’expérience dans les ascensions alpestres, il s’en sortira très bien durant notre séjour.

Je repars, ça va mieux, d’ailleurs la déclivité commence à faire relâche et passera à 7,5/8% sur les 800 mètres suivants. Je rejoins Seb qui avait ralenti pour m’attendre. La route s’élève ensuite tranquillement à 5/6% durant 990 m vers les Confins. On aperçoit brièvement son petit lac qui hélas ne nous laisse aucun souvenir marquant à cause des sommets environnants tous cachés dans une belle purée de poix. Pour la partie touristique, on se rabat sur la jolie Chapelle des Confins qui date de 1833.

Le final long de 450 m, qui longe un golf, est très facile avec ses 3%. Le Col des Confins  est atteint à 1432 m d’altitude au milieu de nulle part. Seb me fait remarquer qu’il n’y a pas de panneau. Je lui réponds qu’il n’y en a parfois pas. Il est déçu et me répond que c’est dommage d’avoir grimpé cette difficile ascension pour rien ! On en rigole !

Seb demande où est le panneau ! Je lui explique que certains cols n’en ont pas… il est déçu… LOL !
Col des Confins humide !
Je fais le panneau !
Voilà en gros la vue que l’on aurait du avoir ! (photo Gilles Lansard)

Bon, comme il n’y a rien à voir, on retourne à la Clusaz. Par contre, au lieu de reprendre exactement la route que l’on vient de grimper, on redescend par la Route de Platuy, une autre variante du Col des Confins. Ça me permet de la découvrir à cette occasion et de constater qu’il y a un passage aussi ardu que celui de la montée officielle !

À la Clusaz, je réfléchi vite… la pluie est à nouveau là, il est près de 13h30, c’est que l’on commence à avoir faim ! Il était prévu que l’on pique-nique à la voiture au Grand-Bornand. Mais là, avec la pluie et le froid, on commençait à passer en mode hypothermie. Je propose à Seb de se trouver un endroit pour manger au chaud et aussi avaler un truc chaud afin de mieux nous réconforter. Mais la station de la Clusaz est complètement morte ce jour-ci, on tente notre chance à St-Jean-de-Sixt… elle est réussie en trouvant une boulangerie – pâtisserie qui fait office de salon de thé, c’est parfait !

L’employée est surprise d’accueillir des cyclos par ce temps bien pourri mais ce sera avec le sourire. On commande des croque-monsieurs et un café qui nous mettent du baume au cœur. L’atmosphère est chaleureuse mais on ne s’attarde pas car il va falloir repartir pour ne pas trop se refroidir, j’entends au niveau musculaire car pour ma part, j’ai parfois du mal à faire redémarrer après une pause trop longue.

Col des Annes

Après s’être refait correctement une santé et après être retourné tranquillement au Grand-Bornand, on se sent d’attaque pour la 4ème ascension qui sera le gros gros morceau du jour : le Col des Annes perché à 1722 m d’altitude. Long de 11,6 km, c’est un petit monstre qui nous attend avec une moyenne de 7%, cette dernière passant même à 10% dans sa seconde partie ! J’ai aussi une petite inquiétude. Vu l’altitude du col, j’espère que la météo ne sera pas trop mauvaise là-haut…

Un profil un peu effrayant !

Depuis le Grand-Bornand, on a une première partie assez calme durant  4,8 km. La pente n’excède pas les 5% et c’est assez roulant, idéal pour se remettre dans le bain d’autant que la pluie s’est arrêtée. Arrivé au hameau des Plans, les voyants sont au vert pour aborder la seconde partie qui est monstrueuse : 10% de moyenne durant 6,8 km !

À partir d’un croisement où se trouve une joli chapelle (1702 et oui, les chapelles sont toutes jolies en Haute-Savoie !), la route part sur la gauche et la déclivité passe sans transition de 0,5 à 7%. Mais uniquement pour 500 m car à l’approche du premier lacet, il faut désormais sortir les piolets pour gravir 2,4 km sur une pente moyenne comprise entre 10,5 et 12% !!! Quelle pente de dingue et encore on a encore rien vu !

Bon, il ne faut pas s’affoler, trouver le petit rythme et le souffle qu’il faut, ne pas s’inquiéter de l’allure d’escargot que l’on a pris. Il faut aussi se concentrer pour adopter une bonne position pour ne pas trop déraper sur la route qui est humide. Cette dernière est dans un état assez moyen, l’entretien étant minimal car c’est une route pastorale. Heureusement, plusieurs lacets nous aident à se fixer de mini-objectifs entre chacun d’eux.

À l’approche des chalets du Tavaillon, la déclivité fait un peu relâche mais on est quand même sur un bon 9%, impossible de se refaire une santé durant 1,1 km. Une fois encore, je suis encore trop habillé, je chauffe, Seb a pris une petite avance, quelle belle forme il a ! Je profite d’un petit replat salvateur d’environ 400 m à 2% au niveau de la Duche pour faire une courte pause afin d’enlever une couche et retirer le bonnet sous le casque. Ouf, ça va mieux ! J’ai réussi à refroidir un peu la chaudière mais en dépassant la jolie (oui, oui…) Chapelle  de la Duche, la pente se redresse brutalement à 10% durant 600 m, autant vous dire que j’ai bien senti ce passage assez traitre.

Heureusement, on repasse à 7,5% sur les 400 m suivants pour se préparer au final qui est désormais bien en vue. Petite précision : depuis le Tavaillon, il n’y a plus un lacet, la route ondulant légèrement pour tailler au plus droit vers le Col des Confins, n’offrant ainsi aucun virage pour se relancer.

Le final est dantesque : 1400 m sur une pente oscillant entre 11,5 et 12,5% de moyenne… vous donnant un net aperçu de ce que peut être l’enfer !!! L’effort est maximal, il ne faut rien lâcher car s’arrêter sur cette pente ne donnerait pratiquement pas la possibilité de repartir. Au-dessus de ma tête, les bâtiments du Col des Annes me tendent les bras… mais il faut en terminer avec les 100 derniers mètres où mon clinomètre a affiché un chiffre insensé : 15% !!!

Je franchis enfin le sommet à 1722 m d’altitude sur une petite place… en terre ! En effet, l’asphalte s’arrête net au panneau en bois du Col des Annes. Pffffff, avec Seb, on est quand même content d’avoir pu relever ce sacré défi et on se congratule. Il paraît qu’en été, il peut y avoir foule car les 2 restaurants ont une petite notoriété et les gens viennent aussi pour profiter de la vue sur la Chaîne des Aravis. À mon avis, si c’était à refaire en été, il vaudrait mieux le grimper en tout début de matinée parce que se taper une file de voitures sur une route très étroite relèvera d’un numéro d’équilibriste ! On peut même voir sur les photos des sites web des restaurants, les tous petits parkings encombrés et surtout la rampe finale embouteillée par une horde de bagnoles. Pouah ! Finalement, même si la météo n’était pas au rendez-vous, je suis content de l’avoir grimpé au calme !

Bien sûr, le superbe panorama que l’on aurait du mériter n’est pas au rendez-vous, il faudra y revenir un jour avec le beau temps pour en profiter pleinement. Malgré le froid, il ne devait faire pas plus de 5°C, on prend le temps de reprendre nos esprits et d’avaler une barre de céréales avant de redescendre vers le Grand-Bornand. Hé oui, le Col des Annes n’a qu’un seul versant cyclable en vélo de route. L’autre versant depuis le Reposoir (sur la route du Col de la Colombière) est en partie cyclable à VTT avec des portions tout de même assez raides.

Ambiance fantôme au Col des Annes !
Seb a gravi l’un des plus durs cols de Haute-Savoie, bravo !
Ben, je suis quand même content aussi !
L’une des fermes qui produit le fameux Reblochon.
Vous êtes sûr qu’on est au mois de juin ?!
Les terribles derniers hectomètres…
Voici la vue que l’on aurait du avoir ! (photo www.aravis-haute-savoie.fr)

Pour Seb et moi, nous avons rempli notre contrat du jour malgré la méchante météo qui ne nous a pas gâté mais qui a eu aussi la décence de ne pas envenimer la sortie en passant en mode abominable ! Au total, la randonnée n’a pas été très longue avec 65 km mais les 1900 m de D+ lui donne une belle allure à l’enchaînement des 4 ascensions dont un Col des Annes hors catégorie !

Nous retournons tranquillement au Grand-Bornand. Hop, on enfourne rapidement les affaires dans la voiture pour se rendre à St-Sixt près de La Roche-sur-Foron où nous avons loué un petit appartement très sympathique (y compris les propriétaires). Comme il n’était pas trop tard, on a même pu nettoyer les vélos et profiter d’un bon repos avant de passer à la journée du lendemain où un programme bien copieux nous attendait…

Peu de photos pour ce récit mais pour la première fois, je vous invite à découvrir une vidéo live de la sortie !

 

Une réflexion sur « Alpes – La Roche-sur-Foron / Cols des Aravis, des Confins et des Annes »

  1. Salut Joris 🙂

    Voilà un bon début !! ^^’
    Moi j’aime bien des fois ces sorties glaciales à la période où on espère du beau soleil, car les sorties quand le soleil est enfin là sont encore plus appréciables^^ Mais je me doute bien que là vous deviez être déçus^^

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